Article écrit en collaboration avec Getfluence.
Nous sommes nombreux à ne pas pouvoir imaginer vivre sans les nouvelles technologies en général et Internet en particulier. L’omni-connexion est désormais un fait social majeur au sein des économies avancées, avec un accès massif aux données en ligne. Les Français sont devenus d’importants consommateurs d’informations numériques. Entre les réseaux sociaux, les blogs et les sites ou médias à proprement parler, professionnels et particuliers créent du contenu à grande échelle.
Fin 2018, la planète Terre comptait 1,4 milliard de sites web. Les internautes passaient en moyenne 2 minutes et 17 secondes seulement sur un même site (à rapprocher d’un taux de rebond moyen estimé à 40 %), tandis que 52 % du trafic mondial était le fait de bots. 92 % des TPE et PME avaient déjà une vitrine sur le net. Ces quelques statistiques nous apprennent le grand enjeu du moment : générer du trafic qualifié sur son site, ce qui implique différents corollaires. L’objectif est notamment de se démarquer de la concurrence en termes de visibilité et de garder l’internaute sur son site (et le fidéliser) pour s’assurer des conversions. Maintenant, venons-en aux moyens… !
LA PUBLICITÉ SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Chaque année a beau être agrémentée d’un scandale éclaboussant tel ou tel média social, les réseaux sociaux dans leur ensemble continuent de jouir d’un grand succès, croissant même, permettant ponctuellement l’irruption d’un petit nouveau dans la cour des grands. Facebook, Instagram, Twitter, LinkedIn… À chaque réseau ses spécificités, son mode de fonctionnement, son public.
Cet univers virtuel détrônant en grande partie le monde réel et palpable, il est naturel que ses espaces publicitaires soient recherchés. Indéniablement, pour faire connaître son site, de la pub sur les réseaux sociaux s’avère efficace pour différentes cibles (les jeunes générations par exemple).
Il y a cependant quelques inconvénients majeurs à prendre en compte. Le premier est la difficulté voire l’impossibilité d’anticiper son ROI, ce qui rejoint d’ailleurs une autre problématique : celle d’une campagne pouvant être coûteuse par rapport aux résultats recueillis. En d’autres termes, on peut payer cher pour des retours décevants.
Si ces faiblesses peuvent être prévenues par une bonne préparation de la campagne avec des professionnels compétents, il reste un dernier point où le bât blesse. Et c’est à notre sens la principale lacune des annonces sur les réseaux sociaux : l’aspect one shot qui rend difficile toute vision sur le long terme. Certes, on peut imaginer des sites se prêtant parfaitement à des campagnes one shot de ce type (une boutique en ligne surfant sur un fait d’actualité, comme le décès d’un chanteur célèbre…). Mais dans bien des cas, il est primordial de ne pas se contenter des RS !
GRANDEUR ET DÉCADENCE DU NETLINKING ?
La pub sur réseaux sociaux permet un ciblage des impressions et consiste à capter l’œil humain. Celui qui clique sur un encart dans ce contexte sera toujours un visiteur potentiellement qualifié. Le netlinking, lui, appartient à un autre genre, ne boudant pas les robots dans sa variante 100 % SEO. C’est une méthode particulièrement technique qui a pour dessein d’améliorer le CF, le TF, le DR et le DA de son site, en vue de plaire davantage aux moteurs de recherche, en tête desquels Google. Il s’agit tout simplement de positionner sur des sites aux metrics relativement intéressantes des backlinks vers propre nom de domaine. Même s’il n’y aura que des bots pour les voir ce sera suffisant ; s’il y a en plus de véritables visiteurs, ce n’est que du bonus !
Le netlinking n’est pas nouveau. Il ne permet pas forcément de générer directement du trafic qualifié sur son site Internet, mais il y contribue puissamment par des chemins détournés. Un meilleur référencement équivaut à une meilleure position Google, donc à une plus grande visibilité auprès des internautes renseignant tel ou tel mot-clef. Le trafic qualifié arrive en grande partie par cette porte-là, et de nouvelles personnes feront la connaissance du site en question. Même chose dans le cas d’un article réellement lu par de vrais internautes.
Il serait donc dommage de s’en priver, mais attention : cette approche SEO à l’extrême est en pleine mutation. Les ancres suroptimisées de jadis (« acheter voiture france », etc.) ne sont plus guère appréciées des algorithmes de Google qui se perfectionnent sans cesse. Or personne ne voudrait dépenser son argent pour s’attirer une pénalité… Il convient par conséquent de faire preuve de tact, en mettant l’accent sur la qualité.
PARTENARIAT INFLUENCEUR : BLOGUEURS VS RÉSEAUX SOCIAUX
Et la qualité a un nom : l’influence. Alors que le netlinking SEO ne réfléchissait qu’en termes de backlinks, le marketing d’influence s’intéresse à la fois au contenu, au lien retour et à l’influence. On recherche un véritable lectorat. On s’appuie sur un professionnel de l’influence (blogueur, média…). On achète un article entier, et non pas juste une ancre et un lien.
Même chose pour les réseaux sociaux : la publicité de type display y a encore des succès, mais elle manque d’authenticité, de personnalité. Là aussi il est possible de nouer des partenariats avec les influenceurs, petits et grands, que sont ces profils touchant une audience aussi réelle que précise.
Il est cependant difficile de faire son choix entre l’influence de la blogosphère et l’influence sur les réseaux sociaux… Dans l’idéal, il semble judicieux de pouvoir jouer sur les deux tableaux, mais les budgets de communication ne le permettent pas toujours.
Dès lors, il convient de garder en mémoire quelques statistiques pour faire le meilleur choix : la durée de vie moyenne d’un tweet est de 4 h 04, celle d’un post Facebook de 14 h 42 et celle d’Instagram de 21 h 36. Pour les articles de blogs ou de sites, il faut en revanche compter en années ! Les moteurs de recherche n’y sont pas étrangers, bien sûr.
L’autre point positif des blogueurs influenceurs… est qu’ils relaient souvent volontiers leurs publications sur leurs réseaux sociaux. Pour générer du trafic qualifié sur son site Internet, cela s’appelle faire d’une pierre deux coups en profitant lors d’un même partenariat de tous les supports d’influence imaginables.
LE RENFORT DES PLATEFORMES D’INFLUENCE
Sur les réseaux sociaux comme dans la jungle des sites, blogs et médias, il n’est pas facile de nouer de bons partenariats avec des influenceurs. La tâche a d’ailleurs de quoi s’annoncer fastidieuse et chronophage. Cela explique le succès des plateformes mettant en relation influenceurs et annonceurs, à l’instar de getfluence.com.
Gain de temps, échanges rationalisés et sécurisés, transparence, simplicité, vivier certifié d’influenceurs réels, données statistiques vérifiées, contrôle de la prestation réalisée… Les atouts ne manquent pas pour générer du trafic qualifié ! Souvent, il est d’ailleurs possible d’être à la fois annonceur (pour se faire connaître) et influenceur (en nouant des partenariats avec d’autres annonceurs, non concurrents), ce qui n’est financièrement pas à négliger.
Fin 2018, la planète Terre comptait 1,4 milliard de sites web. Les internautes passaient en moyenne 2 minutes et 17 secondes seulement sur un même site (à rapprocher d’un taux de rebond moyen estimé à 40 %), tandis que 52 % du trafic mondial était le fait de bots. 92 % des TPE et PME avaient déjà une vitrine sur le net. Ces quelques statistiques nous apprennent le grand enjeu du moment : générer du trafic qualifié sur son site, ce qui implique différents corollaires. L’objectif est notamment de se démarquer de la concurrence en termes de visibilité et de garder l’internaute sur son site (et le fidéliser) pour s’assurer des conversions. Maintenant, venons-en aux moyens… !
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